Furieuse d’avoir subi un envahissement revendicatif et pacifique de son magasin de Créteil le mardi 19 février par de nombreuses et nombreux militant·e·s venu·e·s de la CGT du Val-de-Marne et des gilets jaunes, la direction du groupe Primark et quelques managers zélés n’ont rien trouvé de mieux que de tenter de faire payer cette action interprofessionnelle au syndicat CGT de l’entreprise, à ses représentants du personnel ou aux salariés qui auraient osé manifester soutien ou sympathie à ce mouvement.